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Fertilité - Nathalie Sideris
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Fertilité

Et si l'infertilité était une douleur psychogène ?

EN ATTENDANT QUE LES CIGOGNES PASSENT

Même si certaines difficultés à concevoir un enfant ont des causes médicales bien identifiées, d’autres apparaissent sans que des facteurs somatiques soient déterminés. Aussi, sommes-nous amenés à soulever la question si certaines stérilités ne sont pas d’ordre psychogène. Nous pouvons même aller plus loin dans cette analyse car il apparait que les facteurs psychogènes influent sur les stérilités dites organiques. Chez l’homme, par exemple, la spermatogenèse peut être modifiée par le stress.

Travailler sur les
facteurs émotionnels

La perte de l’estime de soi
La culpabilité
Le stress

L’annonce de l’infertilité est un anéantissement pour la majorité des couples, elle est une épreuve qui doit être gérée à deux. Il est donc primordial de savoir communiquer et surtout ne pas rejeter la faute sur l’autre. Les cas d’infertilité dans un couple sont liés à la femme, à l’homme ou aux deux partenaires dans les mêmes proportions à savoir 30%. Il faut donc bien comprendre que malheureusement tout le monde peut être concerné et ceci même avec une hygiène de vie irréprochable.

Il ne s’agit donc pas d’en prendre toute la responsabilité et de se sentir coupable. Coupable de quoi ?

Et c’est dans ces moments-là que les séances d’hypnose vous permettront de travailler sur cette culpabilité ou cette perte de l’estime de soi, ces freins qui empêchent les couples de dialoguer, de trouver leurs voies et ainsi déterminer leurs limites. Il génèrent également des états de stress et de dépression bien connus pour leur effets négatifs sur la conception.

Travailler sur les
facteurs comportementaux

Alimentation
Alcool
Tabac

Il est prouvé qu’une alimentation équilibrée ainsi qu’un mode de vie sain booste de manière significative la fertilité et donc les chances de succès dans le cas d’une fécondation in vitro.

L’alimentation

Elle joue un rôle crucial dans le processus de reproduction.

En effet, les troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie sont les ennemies d’une grossesse réussie. Par exemple, dans les deux cas, on retrouve des changements hormonaux qui peuvent empêcher l’ovulation ou des anomalies placentaires. Toutefois, les conséquences sur la fécondation ne concernent pas seulement les femmes, les hommes sont également impliqués comme la réduction de la production spermatique.

L’alcool

L’alcool peut avoir un impact négatif
sur la fertilité féminine et masculine

Des études ont montré que chez les hommes, la qualité et la mobilité des spermatozoïdes seraient altérées. Toutefois, les chercheurs estiment que l’impact de l’alcool sur la qualité du sperme est réversible puisqu’il serait annulé en trois mois, le temps qu’il faut à un nouveau spermatozoïde pour arriver à maturité. La femme n’est malheureusement pas épargnée que cela soit avant ou après la conception. En effet, il a clairement été montré que l’alcool perturbait les cycles pouvant entrainer des périodes d’anovulation. De même, durant la période de gestation, on assiste un augmentation des fausses couches et des anomalies sévères à la naissance. Parmi ces dernières, nous pouvons citer celle du syndrome d’alcoolisme fœtale. A la vue de toutes ces données, vous comprenez combien il est primordiale de bannir tout alcool même en quantité minime et attendre patiemment de fêter l’arrivée de bébé.

Le Tabac

Les effets délétères du tabac
sur la fertilité masculine et féminine étant bien connus,
la cessation tabagique est devenue une priorité
de santé publique de premier plan

Au-delà de la diminution de la fertilité, le tabac a également des répercussions sur la descendance : embryons de qualité médiocre, mauvaise implantation in utero, mortalité néo-natale accrue, retard de croissance, augmentation du nombre de prématuré (x2). Mais des études menées dans les centres de PMA ont montré que les taux de succès obtenus en FIV étaient nettement en baisse dans le groupe des fumeurs, ils seraient proportionnels à la quantité de tabac consommée et surtout seraient réversibles après deux ans de sevrage.

Travailler sur d’autres facteurs comportementaux :

Un souvenir d’un événement passé douloureux: anniversaire de décès d’un proche,
une date de naissance commémorative, un traumatisme ancien…

Travailler sur les facteurs psychologiques

La peur de répéter les erreurs de ses propres parents: peur de reproduire la mauvaise relation subie avec ses parents (maltraitance pour les cas les plus extrême).
Une peur inconsciente d’être mère à son tour
Une relation mère-fille compliquée.